LES ANIMAUX DU PARC

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Les chamois

À moins de les surprendre en pleine fuite à l'entrée d'une de ces anciennes casernes qu'ils affectionnent ou de les laisser venir si l'on est assis, les chamois, reconnaissables à leurs petites cornes, se laissent rarement approcher à moins d'une trentaine de mètres. Pour les photographier, il faut donc avoir un objectif 200 mm. Ils courent vite et peuvent remonter des pentes escarpées en un rien de temps

 

Les bouquetins

Les bouquetins se distinguent des chamois par leur taille plus imposante, leurs grandes cornes et leur pas débonnaire. Ils vivent très haut durant l'été (au-dessus de 2 500 m d'altitude) et sont nettement moins farouches que les chamois. Un simple objectif 35 mm ou 50 mm suffit pour les photographier sans qu'il soit besoin d'effectuer un rapprochement artificiel

 

Les mouflons

Reconnaissables à leurs cornes arrondies, les mouflons ne sont rien d'autre que des mou­tons sauvages importés dans le massif il y a plusieurs décennies. Ces animaux ne sont guère habiles dans les terrains escarpés et dans la neige épaisse. C'est sans doute pour cela que leur population s'est rapidement réduite avec l'arrivée du loup qui a éliminé quantité de sujets en quelques années. Malgré cela, on peut encore observer des mouflons en quelques lieux, notamment autour du lac de Tavels.

 

Les marmottes

Dans les grandes prairies qui bordent les sentiers entre   1500 et 2500 m, vous verrez fré­quemment des marmottes courir se réfugier dans leur trou en attendant que vous soyez passés au large. Elles sortent dès le mois de mai pour hiberner à nouveau vers le mois d'octobre.

 

L'hermine

Curieux petit animal qui ressemble à un écu­reuil mais qui peut parcourir des éboulis à une vitesse étonnante, disparaissant pour ressurgir quelques secondes plus tard, la tête en l'air en train de vous observer. On la rencontre entre 2000   et 2800 m d'altitude mais également à proximité des refuges. L'hermine possède un pelage beige qui devient blanc durant l'hiver.

 

Les chocards

Ces oiseaux noirs à bec jaune connaissent bien les randonneurs. Dès qu'ils en voient quelques-uns, ils se postent sur un sommet voisin et attendent leur départ pour venir ensuite grappiller les restes de repas. Parfois même, ils n'hésitent pas à venir se poser à quelques mètres de distance. On les trouve à toute altitude jusqu'à 3 000 m.

 

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